Comme nous pouvons le voir, les acteurs sont très partagés sur la question de la mesurabilité de l’amour. Les points de vus divergents, les arguments fusent en faveur et en défaveur et aucun argument ne semble moins important qu’un autre.
Les acteurs pour sont des chercheurs pour la mesurabilité de l’amour comme ceux de l’USC Viterbi School mais également des chercheurs contre, comme Samantha Joel, Paul Eastwick & Eli Finkel.

 

Au niveau des algorithmes, certains scientifiques affirment qu’il est possible de les utiliser pour mesurer l’amour et d’autres sentiments humains, les patrons des applications de rencontres sont également pour. Leur business étant fructueux, ils ont intérêt à vendre leur algorithmes comme étant utiles et fonctionnels !

 

D’autres scientifiques en revanche estiment qu’il n’est pas possible de mesurer l’amour avec les algorithmes faute de données, de diversité des critères…

En revanche, la présence d’hormones dues à l’amour est incontesté de tous.

Les scientifiques s’accordent sur les effets du corps lorsque les littéraires sont d’accords sur le fait qu’un amour est un sentiment humain indéfinissable.

Les avis divergent et il serait impossible d’affirmer ou d’infirmer que l’amour est mesurable.